Chez Triple Boris, nous disons non aux haters ! Ici, nous aimons d’amour les produits Apple et son système iOS. Cela dit, nous trouvons des qualités indéniables à Android. Plusieurs membres de l’équipe utilisent ce système d’exploitation et obtiennent pleine satisfaction. Alors, pas de chicane dans la cabane !
Mais pourquoi aimons-nous iOS ?
Les principaux avantages du système iOS sont :
L’inconvénient majeur… ? Les produits Apple coûtent très cher ! Par contre, on dénombre de plus en plus de téléphones intelligents sous Android vendus à des prix aussi élevés.
Et pourquoi aimons-nous Android ?
Les principaux avantages du système Android sont :
Les inconvénients majeurs… ? Les interfaces varient énormément d’un produit à l’autre. La résolution des écrans, par exemple, donne des maux de tête aux développeurs d’applications mobiles et de jeux. De plus, le nombre incalculable d’appareils de toutes les générations rend les mises à jour difficiles. La raison ? C’est le manufacturier des appareils qui y donnent accès. Ça ne passe pas par Google, son développeur…
« On a toujours les défauts de ses qualités, rarement les qualités de ses défauts[1] », philosophait l’écrivain de science-fiction H. G. Wells…
Triple Boris dit : « Vivre et laisser vivre ! »
L’existence des systèmes d’exploitation iOS et Android oblige les entreprises à rivaliser d’ingéniosité. Qui aime les monopoles ? Qui déteste avoir des choix ? Pas grand monde ! L’important, c’est d’acheter un appareil mobile (téléphone intelligent, tablette électronique, etc.) qui correspond à vos besoins. Vous n’avez pas à justifier vos décisions. En d’autres mots, ne vous préoccupez pas de ce que pense votre voisin !
Chose certaine, Triple Boris ne fait pas de discrimination. Notre équipe développe des jeux et des applications mobiles compatibles avec iOS et Android. Pourquoi ? Parce que nous voulons atteindre – et satisfaire ! – le plus de gens possible.
Vous avez des questions sur nos services ? Écrivez-nous !
Simon
simon@tripleboris.com
[1] Source : http://dicocitations.lemonde.fr/citations/citation-53375.php